Les marchés financiers font preuve d’une fougue sans pareille pour orienter l’épargne au financement des projets profitables.
Cela même lorsque la rentabilité pécuniaire s’oppose au progrès social et écologique.
Il incombe à l’État de réguler la finance pour répondre à l’aspiration des peuples.
Cette régulation exige un diagnostic éclairé capable de distinguer les pratiques de la finance qui servent les intérêts de notre collectivité, de celles qui les desservent.